»-. Tu as déjà une épouse, et c’est moi, à moins que tu n’aies oublié ce léger détail -. Si tu me quittes, je monte en chaire dimanche pour dénoncer tous tes péchés, on verra bien si elle t’aime encore tant que ça, cette sainte nitouche. C’est elle qui te quittera ! Ne crois surtout pas que tu peux m’abandonner pour aller vivre avec elle sous prétexte que tu l’aimes…
–. N’oublie pas que c’est moi que tu aimes. Tu ne pouvais soit -disant pas vivre sans moi, tu aurais fait n’importe quoi pour moi, tu devais m’aimer toute la vie. Et maintenant c’est à elle que tu vas répéter tout ça ? Comme si je n’avais jamais existé, comme si nous n’avions jamais été mariés ?
-. Arrête de prononcer son nom. Que c’est bête, qu’elle est bête, quand je pense que tu as laissé une chose pareille se produire ! Ne me dis pas que tu l’aimes, c’est son argent que tu aimes. J’ai cru en toi, je t’ai fait confiance, je t’ai aimé, comment as-tu pu me faire ça ?’‘Nancy Pickard (L’anneau de vérité)

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