»Quand j’ai vu, pour la première fois, au cours d’un voyage en train, les collines des alentours de Sienne, j’ai éprouvé une émotion profonde, comme si j’avais retrouvé quelque chose de très important.
Ces collines sont dépourvues de végétation, elles sont recouvertes d’une terre presque blanche, comme une peau avec des striures, des racines creusées par la pluie, qui font penser à des côtes, à des corps humains. C’est un paysage qui ne change pas, qui n’est pas modifié par les saisons. Et plus tard, au moment de les peindre, je me suis rendu compte que ces collines blanchâtres me rappelaient les monceaux de cadavres parmi lesquels j’avais vécu à Dachau. » Zoran Music

😊🐾
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Sublime!
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Belles couleurs pour un sujet difficile!
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