»-. Une fois par semaine, le journal local mettait Ă l’honneur un chien sans abri qui cherchait une nouvelle đ . Ce jour-lĂ , j’avais sous les yeux la bouille d’un chien que j’aurais reconnu entre mille. Notre Marley. Ou du moins un chien qui aurait pu ĂȘtre son jumeau. C’Ă©tait un gros labrador jaune avec une tĂȘte en forme d’enclume. Il y avait son nom sous la photo, Lucky. Je lus le descriptif Ă haute voix –. Je suis plein d’entrain. Je ferais un malheur dans une maison tranquille, mĂȘme si je dois canaliser mon inĂ©puisable Ă©nergie. Je n’ai pas eu une vie facile, alors ma nouvelle famille devra faire preuve de patience avec moi et continuer Ă m’apprendre les bonnes maniĂšres.–

-. Mon dieu, c’est lui. Il est revenu de chez les morts. -. RĂ©incarnation ! -. Je suppose que nous pourrions aller jeter un coup d’Ćil… -. Juste pour le plaisir. -. Oui, par simple curiositĂ©. -. Quel mal y a-t-il Ă faire un saut lĂ -bas ? -. Il n’y a aucun mal. -. Eh bien, alors, pourquoi pas ? -. Qu’avons-nous Ă perdre… » John Grogan (Mon histoire d’amour avec le pire chien du monde)
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Beau chien!
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Ping : La bouille de Marley â L’atelier peinture de Christine – Le VĂ©lin et la Plume