Ouh, que c’est vilain, quel gros défaut ! J’avoue, j’assume, et même je m’en accuse. N’étant pas une intellectuelle, mais plutôt une imaginative, une créative, j’ai tendance à juger les choses sur leur première approche. Fanatique de lecture, je me laisse séduire par le titre d’un bouquin, puis par l’illustration de sa couverture, un coup d’oeil sur le résumé suffit alors, ou pas, à me convaincre de poursuivre…. Autant dire que les récents prix littéraires qui viennent d’être décernés aux auteurs francophones ont peu de chances de me séduire, tant leurs appellations diverses sont pauvres en imagination, à défaut de l’être en écriture. Mais bon, glissons… ils feront sans doute de bons 🎁 de Noël…
… glissons pour envisager les titres attribués à la production picturale. Il s’agit de donner envie au spectateur de se muer en acheteur, en stimulant l’imagination, en créant des images qui complèteront le tableau considéré, en procureront éventuellement le début d’une explication, ou pas d’ailleurs. De même que le prénom de l’être aimé se susurre de lèvres à oreille pour créer l’intimité, l’artiste ne peut se désolidariser du titre de son oeuvre. Coucher de ☀️ ? Certes, mais où, quand, pourquoi, comment, en quelles circonstances ?... Faites-moi donc rêver d’un coucher de ☀️ aux Îles Marquises !

Mon conseil. -. Juger sur la mine, ou, en l’occurrence, sur le titre, c’est s’épargner la peine de disperser ses efforts intellectuels. C’est se consacrer au meilleur, c’est-à-dire ce qui plaît à soi-même, et pas forcément aux autres. -. Problème, une fois que le titre est pris, on ne peut plus le réutiliser, même si on peut le modifier par un tour de passe-passe.- C’est aussi être sélectif, voire sectaire, ouh, quel vilain défaut !
Le bus anglais typique, très réussi!
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ah ! un bus Londonien , je les aime …
😉
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😊👍🏼👍🏼
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