Paris, au 35 boulevard des Capucines… Tout ce qui compte (on dirait aujourd’hui les gens qui réussissent) au dix-neuvième siècle vient se faire tirer le portrait par le photographe Félix Tournachon, dit Nadar.
»-. Mais, en 1874, Nadar quitte l’endroit, et l’étage supérieur est provisoirement prêté à un groupe de peintres refusés dans les expositions officielles. Ces originaux encore ignorés s’appellent Paul Cézanne, Edgar Degas, Claude Monet, Camille Pissarro, Auguste Renoir…-.Je peins ce que je vois, et non ce qui plaît aux autres de voir– répète Monet comme un credo. Du 15 avril au 15 mai, cent soixante-cinq toiles sont présentées. Parmi elles, une composition de Monet, un lever de ☀️ sur le port du Havre, un astre rouge et de la buée, des esquisses et des ombres… Tout cela ne ressemble pas vraiment au bassin normand. -. Comment l’appellerez-vous, pour le catalogue ?-. Mettez Impression-. C’est un peu court. Ce sera Impression, ☀️ levant. L’aventure ne fait que commencer. » Lorant Deutsch (Métronome 2)

Mon conseil. -. Claude Monet n’est-il pas, ou ne devrait-il pas, être notre maître à tous ? Pas forcément par son style, ou son inspiration, ou son immense talent, qui nous dépassent et surtout nous écrasent. Mais, pour le moins, par son ❤️, par sa ✋, par son âme, par son audace, et surtout par son anticonformiste et ce que je sais quoi qui consiste à faire un pied des à l’opinion des autres. De tous les autres. Je vous le dis, c’est notre maître à toutes et tous !
L’histoire de la peinture, c’est toute une histoire! Beau tableau, une vision originale!
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😊👍🏼👍🏼👍🏼
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J’adore! Bravo!
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