»-. La brume coiffait les sept sommets comme des bonnets en peau de đ. Le capitaine savait Ă quel quai il fallait accoster. Les odeurs et les images allaient au-devant d’eux, bien connues et sĂ©duisantes. Ils avaient dĂ» les laisser en attente quelques mois. Elles se pressaient maintenant. Un flot de vieilles espĂ©rances. Ă nouveau.

Les gars faisaient leur travail tout en jouissant de la vue de la terre promise. Les quais ! La ville ! Les caboteurs et les navires Ă©taient serrĂ©s les uns contre les autres. De joyeux commandements et le roulement des voitures sur le pavĂ© traversaient la baie. Les palans gĂ©missaient au-dessus des portes ouvertes des entrepĂŽts. Ils Ă©taient alignĂ©s cĂŽte Ă cĂŽte. Majestueusement et Ă©vidents comme un vieux paysage, ils s’appuyaient les uns contre les autres tout au long de la baie. La forteresse grise Ă©tait un gĂ©ant qui s’Ă©tait installĂ© lĂ , pour le restant de ses jours. Au beau milieu du reste. En parent immuable de la montagne.’‘ Herbjorg Wassmo (Le livre de Dina)
TrĂšs belle cette toile.
JâaimeAimĂ© par 1 personne
đâ”ïž
JâaimeAimĂ© par 1 personne
Beau tableau de bateaux sur l’eau!
JâaimeAimĂ© par 1 personne
Toujours magnifique, Christine
JâaimeJâaime
Une toile qui donne envie d’Ă©tĂ© et d’Ă©vasion. Bravo!
JâaimeAimĂ© par 1 personne