»-. L’horticulture ornementale a toujours été soumise à des effets de mode. La tulipomanie au dix-septième siècle a atteint des effets proprement incroyables aux Pays-Bas, jusqu’à un véritable krash en 1637. La passion des collectionneurs s’est portée sur les œillets, les anémones, les orangers… Ces derniers montrent bien la tendance des collectionneurs à rechercher la forme rare, curieuse. Un grand nombre de bizarreries, en l’occurrence des chimères botanistes, ont été décrites chez les agrumes.

Au dix-neuvième siècle, le siècle des hybrideurs, de nombreux pépiniéristes ont laissé leur nom attaché à des gammes entières de cultivars. Une part importante à disparu avec la mode qui les avait portés. Beaucoup de ces cultivars ne représentaient probablement que des variations infimes de quelques types biologiques. Mais, que ne donnerions-nous pour retrouver certaines formes, dont l’histoire nous transmet la réputation, ou les types botaniques disparus ? » Michel Chauvet et Louis Olivier (La biodiversité, enjeu planétaire)
😊🌷
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Les fleurs plaisent toujours, un tableau original.
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Passionant, hésites pas à venir faire un tour sur mon site Intel-blog.fr et à t’abonner si ça te plaît 😀
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