»-. Les collections d’histoire naturelle, instruments de travail constitués en France, à grand peine et à grands frais, depuis le début du dix-neuvième siècle, sont gérés avec des moyens humains et financiers équivalents au dixième, voire au centième, de ceux qui existent aux Etats Unis, au Japon ou en Allemagne. Et ces richesses demeurent largement sous-exploitées. Quand on sait que l’ensemble des collections françaises comprend environ 300.000 types, soit un cinquième des espèces décrites dans le monde, on voit que nous avons là une responsabilité internationale, et que nous l’assumons bien mal.

Qu’il s’agisse d’herbiers, de collections d’insectes ou d’autres animaux rassemblés dans les divers musées d’histoire naturelle, il n’est que temps de réaliser un inventaire critique de la situation de ces collections, et de mener une large consultation pour les valoriser, tant comme outil d’information que comme patrimoine historique. Rappelons qu’avec les techniques moléculaire, on a découvert une nouvelle utilisation des collections mortes, puisque l’on peut lire l’information génétique d’animaux conservés dans l’alcool. » Michel Chauvet et Louis Olivier (La biodiversité, enjeu planétaire)
💕😊🌹
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That’s one insect I don’t mind looking at!!
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😊🐞🐜
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Intéressant et joli scarabée, bien habillé !
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Lovely 💕😊🌹
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