-. Dis, Mamie, le titre de ta chronique me paraît manifestement provocateur, ou tout du moins interrogateur quant à tes intentions… À quoi bon PEINDRE, si l’on ne mobilise pas son ❤️ ? -. Tu as certes raison, l’art n’est pas un produit de consommation courante, il induit des sensations et des émotions. Il existe toutefois des sujets, à transcrire picturalement, qui impliquent davantage l’artiste qui s’y attaque, bille en tête-. Par exemple, depuis quelque temps, je m’implique dans un quadryptique qui… -. Dis, Mamie, ce n’est pas un scoop, ni même un motif pour emballer ton ❤️…-
Ce dont nous discutons, c’est d’un tableau, du genre grand format. Il s’agit d’un 🎁 pour ma petite-fille Mahéva, Mawé pour les intimes. Pour y décrire l’univers d’une jeune femme d’aujourd’hui, aimant les voyages, l’aventure sac à dos, la nature passionnément, la spiritualité, la musique, la lecture… et l’art. -. Dis, Mamie, je ne perçois pas le point focal, dans aucune de tes quatre saynètes.-. J’ai fait l’impasse, comme je le fais de plus en plus souvent, préférant traiter chaque sujet comme une scène de théâtre. L’oeil du spectateur englobe alors le motif sans s’attarder sur les détails. De la ✋ au regard… –. Et du regard au ❤️ !- . Bien vu !-

Mon conseil. -. S’affranchir d’un certain nombre de contraintes, telles la perspective, le point focal, le code couleur, pourquoi pas… du moment que l’on conserve une certaine harmonie. Il faut alors que ce soit pour la bonne cause, pour appuyer le propos de l’artiste. Et que le tout reste cohérent. C’est un excellent exercice pour le débutant, qui ne doit pas se décourager.
Des couleurs douces, un bel ensemble.
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😊👍🏼👍🏼👍🏼
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