»-. Nous traversĂąmes quatre propriĂ©tĂ©s immenses. Dans la premiĂšre, un parterre de fleurs entouraient un đ° Ă tourelles. Autour des parterres, il y avait des vignes et des vergers. -. Ici, c’est le đ° d’un noble. Il doit ĂȘtre malade, parce qu’on ne le voit jamais. -. Si cet aristocratique nous rencontrait chez lui, ça pourrait lui dĂ©plaire. Moi, je n’aime pas beaucoup les nobles.-

Les leçons de l’Ăcole Normale restaient ineffaçables. Au cours de ses lectures, pourtant, quelques aristocrates avaient trouvĂ© grĂące Ă ses yeux, Du Guesclin, Bayard, La Tour d’Auvergne, le chevalier d’Assas, et surtout Henri IV, parce qu’il galopait Ă quatre pattes pour amuser ses enfants. Mais d’une façon gĂ©nĂ©rale, mon pĂšre considĂ©rait toujours les nobles comme des gens insolents et cruels, ce qui Ă©tait prouvĂ© par le fait qu’on leur avait coupĂ© la tĂȘte. Les malheurs n’inspirent jamais confiance, et l’horreur des grands massacres enlaidit jusqu’aux victimes. » Marcel Pagnol (Le đ° de ma mĂšre)
J’aime votre tableau Christine, il rĂ©chauffe la vue de ses couleurs chatoyantes !
JâaimeAimĂ© par 1 personne
Il existe vraiment, ce đ°, il a appartenu Ă la famille de Vauvenargues, puis… Ă Picasso
JâaimeAimĂ© par 1 personne
Merci Christine pour ces renseignements, je ne connaissais pas du tout… Bonne journĂ©e !
JâaimeAimĂ© par 1 personne
đđ°
JâaimeAimĂ© par 1 personne
Belles couleurs, un chĂąteau chatoyant!
JâaimeJâaime