»-. Vous devriez vous jeter dans le fleuve. Attachez bien le bĂ©bĂ© dans sa couverture, tenez-la sur vos tĂȘtes, et puis en avant, dans l’eau ! -. Es-tu devenu complĂštement fou ? -. Quel gars sans cervelle ! Es-tu donc nĂ© pour ĂȘtre rĂŽti ?-. Il dĂ©signa d’un geste la lisiĂšre de la forĂȘt. Les Iakoutes avaient maintenu les đ„ assez bas. Ils Ă©taient accroupis autour d’eux et s’occupaient de quelque chose qu’on ne pouvait distinguer Ă cette distance. -. Pourquoi ont-ils fait du đ„, hein ? Auraient-ils des frissons par ce âïž ? Leur cul se refroidirait-il au contact du sol craquelĂ© par la chaleur ? Va-t-en leur demander quel paragraphe de la convention de GenĂšve ils ont l’intention d’enfreindre maintenant !

-. Ils ne peuvent pas faire ça ! -. Ils s’y prĂ©parent en toute tranquillitĂ©. Ils peuvent tout faire. La taĂŻga leur appartient. Ils peuvent l’incendier quand il leur plaira. -. Que nous veulent-ils ? -. Nous rĂŽtir, idiot ! Ils sont occupĂ©s lĂ -bas Ă fabriquer des brandons pour incendier la forĂȘt, qui ne sera bientĂŽt qu’un brasier. Jetez-vous dans le fleuve, vous dis-je. Ah, j’avais raison. Ils se mettent en selle. L’enfer ouvre ses portes !- » Heinz Konsalik (Les damnĂ©s de la taĂŻga)
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Belles couleurs pour ce tableau, un feu différent!
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