»-. Cela se produisit une đ. Je lisais devant la cheminĂ©e. Il ne pouvait s’agir, tout au plus, que d’un đ, ou de quelque autre animal domestique, grattant Ă la porte pour que je lui ouvre. Le bruit Ă©tait si prĂ©cis que je me levais, et fis le tour des portes. J’allai mĂȘme jusqu’Ă la petite porte s’ouvrant derriĂšre le dernier vestige de la đ originelle, mais n’aperçus ni đ±, ni la moindre trace de đ±. Je l’appelai plusieurs fois, il ne rĂ©pondit pas, il ne fit aucun bruit. Cependant, je m’Ă©tais Ă peine rassis que les grattements recommencĂšrent.

C’Ă©tait en soi un incident mineur, personne ne se s’y serait attardĂ©. Ce đ avait peut-ĂȘtre Ă©tĂ© un familier de mon cousin, mais il ne me connaissait pas. Je devais lui faire peur. Cependant, moins d’une semaine aprĂšs, au lieu des grattements d’un đ griffu, ce furent des glissements, des tĂątonnements, et je dois avouer que je sentis passer le frisson de la peur. On aurait dit que la trompe d’un Ă©lĂ©phant, ou un đ gĂ©ant, se frottait aux carreaux des fenĂȘtres. Je ne vis rien. J’Ă©coutais. Rien, absolument rien qu’un bruit impalpable. Un đ± ? Un đ ? J’espĂ©rais que les choses n’iraient pas plus loin.’‘ August Derleth Lovecraft (La fenĂȘtre Ă pignon)
Joli portrait de đ± !
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đđ
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