»-. DĂ©jĂ l’ombre de la đ commençait Ă nous envelopper… cela Ă©tait venu trĂšs vite, comme tombe la đ dans les pays Ă©quatoriaux… subitement, avec Ă peine de crĂ©puscule. Or la đ dans les forĂȘts de l’Ă©quateur est toujours dangereuse, surtout lorsque, comme nous, on n’a pas de quoi allumer du đ„ pour Ă©loigner les bĂȘtes fĂ©roces. Avec le jour, la chaleur n’Ă©tait pas partie, au contraire. Il faisait maintenant encore plus chaud sous la lueur bleue de la đ. Je recommandai au vicomte de tenir nos armes prĂȘtes Ă faire đ„ et de ne point s’Ă©carter du lieu de notre campement.

Tout Ă coup, le rugissement d’un đŠ se fit entendre, Ă quelques pas. Nous en eĂ»mes les oreilles dĂ©chirĂ©es. -. Oh ! Il n’est pas loin ! Vous ne le voyez pas ? LĂ … Ă travers les đČ ! Dans ce fourrĂ©… S’il rugit encore, je tire !-. Et le rugissement recommença, plus formidable. Et le vicomte tira, mais je ne pense pas qu’il atteignit le đŠ. Pendant la đ, nous avions dĂ» faire un bon chemin, car nous nous trouvĂąmes soudain au bord du dĂ©sert. Ce n’Ă©tait vraiment point la peine de sortir de la forĂȘt pour tomber dans le dĂ©sert ! J’Ă©tais tout Ă fait Ă©tonnĂ© que nous n’ayons point fait d’autres mauvaises rencontres, pendant la đ. Ordinairement, aprĂšs le đŠ, il y avait le lĂ©opard, et puis quelquefois le bourdonnement de la mouche tsĂ©-tsĂ©… » Gaston Leroux (Le đ» de l’OpĂ©ra)
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đđŠ
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Un lion mignon sur ce tableau !
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