»-. Chante, chante donc, l’đŠ aux plumes grises, Chante au fond des marais, des solitudes, jette ton chant aux buissons, Chante sans retenue au crĂ©puscule, sur cĂšdres et pins.

Chante, mon doux frĂšre, siffle ta flĂ»te de roseaux, Ton clair chant d’homme, Ă gorge gorgĂ©e de larmes.

Tendre, liquide et ouvert ! Farouche et facile Ă mon Ăąme. -. Ah ! Merveilleux chanteur ! Toi seul j’Ă©coute-. Mais l’Etoile qui va tantĂŽt fuir me tient, Le parfum vif du lilas est mon maĂźtre. » Walt Whitman (Feuilles d’herbe)

TrĂšs sympas ces petits zozios
JâaimeAimĂ© par 1 personne
Des portraits d’oiseaux trĂšs mignons !
JâaimeAimĂ© par 1 personne