L’hiver, à la manière de…

Tant de façons, de manières, de techniques, de tactiques pour s’exprimer sur l’hiver. Ce terme tactiques, je l’emploie intentionnellement, car il me faut réfléchir. Tracer des plans. Ruser s’il le faut. Et ce pour la bonne cause, celle de l’hiver, justement. C’est le thème d’un concours de peinture automnal, plusieurs fois reporté pour cause de pandémie, et qui repart enfin en programmation… À condition que… Mais il faut rester optimiste, sinon à quoi bon faire des projets…

J’ai beaucoup peint, avant, après, pendant le covid. J’ai peint des paysages d’hiver, des toiles inspirées par l’hiver, des tableaux motivés par le concept hiver, des contes et légendes autour de l’hiver. Je possède pléthore d’oeuvres, lesquelles – il m’en faut deux– choisir ? La dimension optimale –60x80cm est le maximum autorisé -fait le meilleur effet, au milieu de la concurrence, mais on peut aussi se démarquer par la couleur. Ou par ce petit quelque chose qui… quoi… qu’on…

Mon conseil. Je suis rarement dubitative, là j’avoue hésiter… Pourquoi, comment, peu importe. Il me faut faire un choix. Je laisse le choix ouvert, gardant en tête qu’il s’agit d’un concours. Originalité ? Technique irréprochable ? Séduction par le tracé, les couleurs ? Pot-pourri de tout cela ? Bon, l’affaire n’est pas bien grave, il ne s’agit pas de gagner -d’ailleurs, je l’ai déjà remporté ce premier prix, via une oeuvre franchement provocatrice-, mais de participer… Qu’en pensez-vous ? Allez, dites-le moi franchement, qu’est-ce qui vous plaît, qu’est-ce que vous préférez ? Aidez-moi à conforter l’avis de mes proches, qui, eux ont déjà opté pour… et puis pour…