»-. En contrebas, dans l’étroite cuvette, des 🔥 brillaient ça et là, illuminant les rochers escarpés qui ceinturaient la tanière de Ladislas. Protégé par cette forteresse de rochers impénétrables, le 🤴 bâtard et voleur devait vivre depuis belle lurette en toute impunité. Les seuls accès en étaient les passes qui, à chaque bout, étaient barricadées, et constamment surveillées. Pour fondre sur l’ennemi depuis les hauteurs, ils descendraient en rappel dans la vallée, le long de cordes attachées aux plus gros des troncs qui bordaient la falaise. Aussi, durant leur entraînement au cours des semaines précédentes, les soldats s’étaient-ils exercés à grimper aux murailles du Kremlin, et à se laisser glisser en bas.

-. Tout est prêt, conformément aux ordres, colonel. En quelques coups de canon, on bloquera les entrées de la gorge. Ladislas sera fait comme un rat, là-dedans. Pour les rouvrir, ça ne demandera pas plus de deux coups de canon supplémentaires -. Ce plan me paraît assez simple pour réussir. En effet, j’ai déjà vu les plus habiles des stratégies réduites à néant pour des raisons parfaitement ridicules. Qui nous certifie que Ladislas est bien dans sa tanière ? Et, dans le cas contraire, qu’il y retournera bientôt ? Nous en sommes réduits à attendre qu’il se montre, en priant qu’il ne choisisse pas de nous faire attendre ici jusqu’au ❤️ de l’hiver-. » Kathleen Woodiwiss (À la cour du Tsar)
Un tableau original, belles couleurs.
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