Excellente initiative que celle de notre amie commune Mijo, experte en mignardises et autres sucreries, dont les appétissantes recettes nous font venir l’eau à la bouche. Qu’ajouter de plus à une longue litanie de pâtés en croûte, religieuses fourrées à l’🍊, 🐷 braisé à la moutarde de Strasbourg et autres saucisses de Dijon ? Car… Hélas, ma passion dévorante pour la peinture, la musique, la lecture, la balade et la sieste ne me laissent que peu de temps pour la gastronomie. Au grand dam de mon mari, les cassolettes patiemment mijotées, les soufflés au fromage à déguster sur le coin de table, les oeufs en cocotte… tous ces petits plats dans les grands, ce n’est pas pour moi. Je devrais toutefois parler au passé de ce grave manquement à mes obligations culinaires de maîtresse de 🏡 accomplie. Car…


… Car, rendant visite à une copine qui est, quant à elle plus portée sur l’art de la marmite que celui du pinceau, j’y décelai avec délices une subtile odeur de cuisson de… Madeleine ! Oui, vous avez bien lu, la fameuse madeleine de Proust était là, dorant gentiment au four avant prémices de dégustation ! Diffusant tous ses arômes gustatifs et littéraires. Distillant la bonne parole, celle de l’ami Marcel, à la recherche du temps perdu. Me faisant presque reproche de m’adonner à une passion culturelle mais si peu roborative, sinon, éventuellement en tableaux représentant des festins, tels que savaient les concocter nos grands maîtres en peinture. Bref, c’est décidé, j’enfile un tablier de cuisinière au lieu de ma blouse de barbouilleuse. Je deviens enfin un cordon-bleu. Affaire à suivre…



Mon conseil. -. Hélas…Inutile de me demander la recette de la célèbre Madeleine, elle se trouve commodément sur Internet, en dix-huit rubriques complètes. Inutile de me mettre moi-même en pâtisserie et cuisine, pour rater lamentablement ladite recette. Rendez-vous donc chez mon amie, dont je cacherai soigneusement l’adresse pour garder l’exclusivité de ses desserts, afin d’y déguster ladite madeleine et me plonger dans le fil de mes souvenirs de dîners en amoureux et de banquets pantagruéliques. Et mon chéri, me direz-vous ? Eh bien, il n’a qu’à m’accompagner !


Jolis tableaux autour de la cuisine.
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hop hop, à peine commandé, servi bien chaud ! l’agenda n’attend pas 🙂
bien mitonné, Christine !
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Hé bien pour quelqu’un qui ne cuisine pas, nous avons là un panel de plats -peintures bien alléchants. Merci.
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Taratata, nous voyons bien que vous avez vendu la cuisine de Momo, œuvre qui vous est propre. C’est bien la preuve de votre art culinaire !
🙂
p.s : comme il me sied que votre intérêt pour le manger vrai corresponde au mien. Néanmoins, et peut-être adoptez-vous la même recette, quand l’heure est grave avec mon co-accessionnaire à la propriété, je prépare une excellente salade verte, sur talons de 9 minimum, cela va de soi 😄!
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Joli texte, joli tableaux. Peut-être un préférence pour le poisson plutôt que pour la viande?
Tu as raison, c’est plus digeste (à part la boîte des sardines)
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Si tu peux rajouter un s à joli et un e à un,
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Une belle explosion de couleurs et de saveurs, un vrai plaisir de passer un moment par ici…
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Un véritable festin pour les yeux et l’esprit.
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