»-. La crise du COVID, en mettant les compteurs à l’arrêt, a obligé à une pause et offert l’opportunité, à partir d’un temps inédit, de réfléchir sur soi et au sens à donner à sa vie. Plus le confinement durait, plus les mots des commentateurs et des économistes créaient un fossé incroyable avec l’envie d’être des gens. Deux mois d’arrêt, deux mois de respiration à l’échelle du temps de l’humanité, qu’est-ce ? Rien. Ces deux mois d’arrêt furent le miroir grossissant de la mascarade du temps d’hier.

Et s’ils étaient l’opportunité, non pas d’un rêve utopique de monde idéal, mais de remettre les compteurs à zéro de toutes les économies au nom du sens universel de la vie ? Impossible pour les ayatollahs de la doxa économique ! Possible pour celles et ceux qui ont conscience du temps et du sens à donner à notre vivre ensemble. 2020 restera une parenthèse qui a jeté des ponts partout où le temps d’hier avait érigé des murs. Une parenthèse pour savoir ce que l’on ne veut plus. Une parenthèse enfin pour renouer aussi avec la mort que l’on a désacralisée. » Philippe Ginestet (La force d’aimer)
. Post-scriptum. Vous aviez dit pause COVID ? Hélas, il semble bien que ladite pause ne fut qu’une parenthèse… Et que la vie a repris tout comme avant, de même qu’il semblerait que ledit COVID ait encore des velléités de nuisance…
c’est vrai qu’une remise à zéro s’imposerait. En tous cas la prise de conscience est la pour de plus en plus de personnes. Et puis on n’est qu’à la 9eme vague, ca peut encore s’affiner…
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Pas vraiment de pause, un surplus de complications, je l’ai vécu ainsi !
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mon époux et l’avons vécu comme une pause , la faune et la flore aussi 😉
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