

En tableaux, bien sûr, et sans prétendre bien entendu à une exactitude historique ni même parfaitement chronologique. 🖌️en ✋, je ne suis guère avide de précisions, ni d’ailleurs de vérités incontestées et incontestables. Feuilletant ma galerie de tableaux, j’ai d’ailleurs dû faire des choix aléatoires et drastiques. Bref… Sous le couvert de m’attaquer à l’Histoire de France par le biais artistique, je peux et je veux prendre bien des libertés… En commençant par le début, c’est-à-dire la préhistoire. Puis Christ est né, bien loin de chez nous, préparant une nouvelle civilisation. Et nous promettant de belles fêtes sous le 🎄, dans une société de consommation ad hoc, c’est le moment de faire un clin d’oeil à Père Noël et au 🎄 surchargé de 🎁… Allez, à regret, on quitte l’Antiquité !




On continue, on accélère. Je zappe les invasions barbares, diverses, variées et sanglantes. Nous voici dans ma période préférée, le Moyen-Âge. Entre les croisades, les rois Maudits et l’architecture religieuse, la Grande Peste, il y a de quoi faire… Quoi, déjà la Renaissance ? Puis, en faisant au plus court, on revisite les guerres de religion, avec les Trois Mousquetaires, on ajoute quelques belles dames, sans oublier le petit peuple, dont les luttes pour l’égalité ont fait le sel de l’Histoire et l’ossature de notre démocratie. Sachant que je ne me suis guère attardée picturalement sur la révolution, on y guillotinait à tour de bras, c’est, pour moi, trop de têtes coupées et de sang versé.






Le dix-neuvième siècle, c’est le romantisme, les guinguettes au bord de l’eau, surtout pour les nantis, l’occasion encore de montrer quelques belles dames en tenues élégantes… et quelques pauvresses en haillons. Déjà la tour Eiffel, si vite ?


🖌️En ✋, je peine à suivre le rythme effréné de l’histoire de France, qui va m’entraîner dans des guerres, encore des révolutions, des épidémies, des migrations, des bouleversements, des avancées technologiques. Et toujours les mêmes qui trichent et les mêmes qui souffrent. Sans oublier cette terrible pandémie nommée COVID, en embuscade en ce premier quart du vingt et unième siècle…



Mon conseil. Stop, arrêt sur image ! La pauvre barbouilleuse que je suis est dépassée par les évènements, qui deviennent européens, puis mondiaux, puis planétaires… J’ai le tournis, l’histoire me rattrape, j’aurais encore tant à PEINDRE sur notre passé, notre présent, notre avenir… L’avez-vous remarqué ? Revisitant l’histoire de notre beau pays, on y parle plus souvent de guerre que de paix, de disette plutôt que d’abondance, de tumultes plutôt que de sérénité…


Beaux tableaux, plein d’imagination et de fantaisie pour passer en revue l’hisoire de France du début à nos jours !
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