»-. La mer soufflait un air frais, capricieux, qui atténuait si bien la chaleur du ☀️ qu’on la sentait à peine. Après la fournaise de la route, c’était merveilleux. Cette Cala Roja était vraiment une jolie petite plage. On pouvait, sans fatigue, gagner le plus gros des îlots de la baie et s’étendre sur ses grandes plaques de schiste. Ou atteindre le récif où la mer venait briser ses 🌊, et s’y hisser, face au large. À l’intérieur, l’eau clapotait comme dans une piscine, si transparente que, même sans masque, on voyait très distinctement le fond sablonneux au bord et très vite rocheux. Trois ou quatre ⛵ y miraient leur coque blanche barrée de bleu, de rouge ou de vert.

Un peu plus loin sur la gauche, à mi-chemin entre l’endroit où ils s’étaient allongés et l’hôtel, sur le replat de la première ligne de dunes, un Bar installé dans des baraques blanches offrait l’ombre d’un grand auvent en feuilles sèches. Quelques 👥 s’y ajoutaient. Amos dit qu’on pouvait y déjeuner, de l’hôtel il ne savait rien, il était évident qu’à ses yeux cet hôtel appartenait à un autre monde. En revanche, il connaissait très bien les pêcheurs de la Cala Roja. L’un d’eux lui prêtait sa barque auxiliaire, et c’était sur cette coquille de noix qu’il allait pêcher. Là-dessus, il ne s’aventurait jamais bien loin, il restait dans la baie, un peu au large de la barrière d’îlots, sans dépasser la pointe aux falaises sombres, à droite. Selon Amos, cette plage était la plus belle de l’île. » Jacques Peuchmaurd (Le ☀️ de Palicorna)
La nuit, dans la mer, là où le clair de lune frappe, un flamant rose se forme. La plage Waver semble aimer les cheveux d’une femme.
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Une plage attirante ! Joli papillon !
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