Ode à Gaïa, notre terre nourricière

J’ai la ✋, la tête, le ❤️ et la 🎨 à l’écologie… Tout du moins pour quelques semaines, le temps de m’exprimer sur le sujet pour une exposition-concours à fournir prochainement. Il s’agit de faire dans l’originalité, sachant que le sujet, doctement gravissime car la 🏡 brûle sur la planète terre, n’est pas spécialement tourné vers la fantaisie. Raison de plus pour m’y montrer créative, espiègle et pourquoi pas facétieuse.Un titre qui en jette, ça interpelle le chaland. Pourquoi pas Gaïa, déesse de la terre ? Gaïa revisitée, avec des couleurs tendrement acidulées, gaîment naïves, gentiment en décalage avec la gravité du sujet. J’ai fait dans la simplicité, en recyclant une vieille toile, dont j’ai accentué la rugosité en travaillant le fond au 🔪, sur deux trois couleurs, vert olive, bleu clair et bleu foncé, c’est sympa, ça détend, pourquoi pas. Le plus difficile reste à venir, car le support est trop strié pour supporter le moindre tracé. J’ai dessiné succinctement à la craie, tant bien que mal, un cercle qui s’évase rapidement en ovale, puis peint avec application, en utilisant un 🖌️dont l’embout est en caoutchouc, avec application de petits éléments qui s’enroulent tel un 🐌. En harmonisant les couleurs, en misant sur le vert de l’herbage, le bleu de l’eau, le rose de nos rêves d’enfants, l’inévitable terracotta.. Car j’ai une histoire à raconter, celle de Gaïa, notre terre nourricière à tous, qui s’éveille, s’étire, se déroule, se love, se recroqueville, s’ouvre enfin pour le plus grand plaisir de l’humain.

Un titre qui en jette, ça interpelle le chaland. Pourquoi pas Gaïa, déesse de la terre ? Gaïa revisitée, avec des couleurs tendrement acidulées, gaîment naïves, gentiment en décalage avec la gravité du sujet. J’ai fait dans la simplicité, en recyclant une vieille toile, dont j’ai accentué la rugosité en travaillant le fond au 🔪, sur deux trois couleurs, vert olive, bleu clair et bleu foncé, c’est sympa, ça détend, pourquoi pas. Le plus difficile reste à venir, car le support est trop strié pour supporter le moindre tracé. J’ai dessiné succinctement, tant bien que mal, un cercle qui s’évase, puis peint avec application, en utilisant un 🖌️dont l’embout est en caoutchouc, de petits éléments qui s’enroulent tel un 🐌. En harmonisant les couleurs, en misant sur le vert de l’herbage, le bleu de l’eau, le rose de nos rêves d’enfants, l’inévitable terracotta… Car j’ai une histoire à raconter, celle de Gaïa, notre terre nourricière à tous, qui s’éveille, s’étire, se déroule, se love, se recroqueville, s’ouvre enfin pour le plus grand plaisir de l’humain.

Mon conseil. – Il s’agit quasiment d’une peinture abstraite, bien qu’elle dispose d’un tracé à minima. D’où l’importance de ne pas partir sans une idée bien précise de sa réalisation, sinon on s’empêtre, on se balade, on se perd en route et finalement on déclare forfait. – J’avais au préalable griffonné un vague croquis sur un post-it -ce qui n’est pas dans mes habitudes- et je m’y suis tenue. –Attribuer un titre dès la conception n’est pas non plus une démarche superflue, voilà qui permet de dérouler sa narration et d’arriver grosso-modo au bout du projet après quelques errances. Ouf !