Exotique miam-miam

 »-. Manger la nourriture locale aide à mieux connaître le pays que nous traversons, de même qu’une liaison amoureuse, à condition qu’il s’agisse là d’un véritable échange, n’aura pas son pareil pour nous faire partager la connaissance profonde de ses habitants. Où que l’on soit, il faut éviter à tout prix ce que l’on appelle, d’un bout à l’autre du globe, la nourriture occidentale. En dehors de l’hôtel quatre 🌟 où l’on atterrit en même temps que son charter, on trouvera, où que l’on soit, une multitude de petits restaurants, gargotes et autres établissements qui ne paient pas de mine, mais où l’on sert une cuisine traditionnelle et familiale. C’est donc là que nous prendrons nos repas. Là qu’il nous faut goûter l’essence même du pays.

Projet 🎏 d’avril, bouillon de 🐟

Là qu’il nous faut ouvrir les yeux et l’estomac sur d’autres habitudes, d’autres goûts, d’autres saveurs, quitte à en avoir le ❤️ soulevé, les yeux révulsés. Très rarement, heureusement, car pour ce qui est de la fraîcheur, ou plutôt du manque de fraîcheur, on risque davantage dans une gargote du cinquième arrondissement de Paris que chez les marchands de soupe ambulants qui foisonnent en Asie comme en Amérique latine. Il faut savoir, quelquefois, passer outre les règles élémentaires de l’hygiène, ne pas hésiter à boire dans un bol commun, à piocher du bout des doigts ou à pleines ✋ les rares morceaux de viande présentés à tous et qui marmitonnent au coin d’une rue, entre buildings et bidonvilles… » Jacques Lanzmann (Marches et rêves)

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