-. Dis, Christine, ce thème de l’écologie, destiné à un concours local, il ne plaît guère. Il n’est pas inspirant. Il me semble bien, il y a quelques années, pour ce même concours annuel, avoir présenté quelque chose sur le thème de la biodiversité, ou des jardins, ou de la nature. Je pourrais recycler ledit 🖼️, mettre un encadrement, rebaptiser mon oeuvre d’un titre approprié… Ni vu, ni connu, je t’embrouille !-. Que nenni, tu desservirais ton objectif, avec tes embrouilles-. Si ton tableau n’a pas marqué les esprits, au point de s’être fait oublier, c’est qu’il ne devait pas être bien fameux, ni original. Ne te laisse pas aller à la facilité, d’autant que l’organisateur, en petites lettres certes dans le règlement, te réclame, nous réclame à tous, un exemplaire non encore présenté au public. Il est à la fois plus sain et vertueux de jouer le jeu… Et même le grand jeu dans le Grand Vert !


Nous avons tous dans nos ateliers, nos annexes, nos cartons, des oeuvres dédaignées par nous-mêmes ou le public, mal fagotées, mal aimées, mal présentées. Si elles n’ont pas, en leur temps, connu leur heure de gloire, est-il si facile de les remettre sur le devant de la scène, telles quelles, sans les rebarbouiller ? Je ne le crois pas, sauf exception ou cas particulier. En peinture comme en toutes choses de la vie, hélas, le temps passé ne revient plus. Et c’est très bien ainsi. Tu as l’opportunité rêvée pour poser toile blanche sur ton chevalet, faire une seconde tentative pour convaincre, et surtout te convaincre. Bon courage!


Mon conseil. Il est vrai que, pour peu que le peintre soit productif, il possède dans sa galerie, accumulés au fil du temps et des méventes, moult tableaux qui correspondent à pléthore de sujets, ambiances, situations, époques. C’est frustrant. J’ai moi-même plusieurs oeuvres qui correspondent peu ou prou à l’écologie et pourraient figurer dans ledit concours, sans démériter. Stop ! Ayons donc la coquetterie, pour nous-mêmes et le public, de plancher de nouveau sur le sujet. Comme toutes les choses de la vie, la peinture est aussi un éternel recommencement, une remise en question, un renoncement… Et un éternel plaisir.


Post-scriptum. -. Dis, Christine, quels tableaux compte-tu présenter lors de cet évènementiel consacré au Grand Vert ?- Mon choix n’est certes pas définitif-. J’ai du temps devant moi pour PEINDRE d’autres oeuvres sur ledit thème-. J’ai toutefois déjà concocté deux toiles de bonnes dimensions qui pourraient y faire bonne et écologique figure…


Mais… je pourrais tout aussi bien présenter les deux suivants sur la liste… En attendant les deux prochains qui patientent impatiemment dans un petit coin de ma pauvre tête.


dura lex sed lex 😉
J’aimeJ’aime
Fraicheur du printemps, merci
J’aimeJ’aime
Adoro suas borboletas! ❤
J’aimeJ’aime
Tres beau🙂
J’aimeJ’aime
Nice post
J’aimeJ’aime