»-. L’hiver, le froid, la vie est lente. Ici une mer grise, des hôtels paquebots fermés et un mal qui me fait mal, au 🖤du ventre. Là où ça respire, là où on se regarde quand l’orgueil se démesure, là où on appuie pour faire sortir l’étrange dalhia qui vient d’envahir, pour une phrase de trop… Et l’image se met en boucle, du début à la fin de la 🌃… La peau. Le glissement, la caresse… Je suis seul face au ciel. Hier encore, il y avait l’attente, la réjouissance, l’anxiété, il y avait de la vie et de la mort qui s’enlaçaient, donnaient deux versants au cours des choses.

Pardonner. Haïr. Aimer. Les 🌊 disent toutes ces choses dans un bruit confus. Tout se mélange, comment choisir la voie, celle qui efface, qui apporte de la vie et du courage, que faire quand le torrent envahit et détruit, lorsque le flot emporte les promesses et les regards… Dans le secret, la faute recouvre la terre et les ☁️, elle est partout et personne ne la voit, sauf celui à qui elle est destinée et qui partout l’aperçoit. Elle recouvre les murs et les grains de sable d’une plage, aucun fragment du monde n’est épargné, les photons et les gouttes de brouillard, les nymphéas et les pierres des cathédrales, tous les iris et les joueurs de flûte en sont remplis, tapissés, nimbés… L’aube d’un geste et le monde est trahi. » Yves Simon ( Le prochain amour)