Les cordons de la bourse

 »-. Je trouvai une vieille barre de fer tordue dans l’allée, et j’attaquai le sol autour du bloc de pierre. Cela n’allait pas tout seul, et bientôt mes ✋ furent en sang. Cependant, après un certain temps, je parvins à déplacer le bloc en me servant de la barre comme levier, et je fouillai la terre à son ancien emplacement. Comme prévu, j’y trouvai une bourse de taffetas imperméable. Je la ramassai et en détachai précautionneusement les cordons. Elle contenait une clé et une lettre adressée à une banque new-yorkaise autorisant le porteur de la missive à se servir de la clé. Sacré vieux John Quigg ! J’aurais mis ma ✋ au 🔥 que, malgré son manque d’assurance, il avait amassé ce magot dans un but inavouable.

Projet Picassez-vous la tête

Avec les précautions qu’il avait prises, un homme emporterait de la poudre sans laisser la moindre trace… Ah, espèce de vieux filou ! Je ne saurai jamais ce qu’il manigançait, mais je gagerais qu’il y avait une femme dans la combine. C’était même passé inaperçu dans le testament ! Tant mieux. Je n’avais pas à m’en plaindre. Je m’empressai de me rendre à la banque. J’eus quelques ennuis mineurs avant de pouvoir entrer dans la chambre forte, car il fallut au préalable compulser de vieux dossiers. Mais, finalement, j’obtins le 🔥 vert et je me retrouvai l’heureux bénéficiaire d’environ huit mille 💰en petites coupures. » Théodore Sturgeon (Le Bouffon caratique)

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