Me revient en tête cette comptine que l’on apprenait en classe, jadis, pour se souvenir jusqu’à un âge avancé des mots en ou qui prennent leur pluriel en X… Et de me dire, – . Ce ne sont là que des mots… Pas faciles à mettre en peinture-, sachant que, chez Christine, tout commence et tout finit par des tableaux. Eh bien si, en passant en revue ma galerie de tableaux, j’y ai retrouvé des références qui me permettent de vous affirmer. -. Pourquoi pas ?-.


Bien sûr, il faut se casser un peu la tête. On pourrait même, au besoin, rebaptiser le tableau pour le faire entrer dans le projet. Sinon, tout se peint, ou tout du moins le peintre peut s’essayer à tout PEINDRE. C’est même un challenge que de se laisser tenter par des thèmes difficiles à interpréter, car le plus souvent difficiles à concevoir. Tiens, la Mort par exemple, à ne pas confondre avec l’enfer, qui lui, possède sa propre imagerie. Ou bien la Mer. Facile, me direz-vous ? Je vous parle de la mer sans ⛵, sans ☀️, sans 🌊, sans 🏝️ luxuriante ni jolie plage de sable fin. Bref une mer sans références, une mer d’encre, une mer étale, une mer anonyme. Là, on fait moins les malins, n’est-ce pas, pinceau en ✋…




Mon conseil. Mettre en peinture l’idée, le concept, l’intention. Et ne pas forcément se focaliser sur le détail. Ce qui compte, c’est le ressenti, l’impression première, la façon de traiter le sujet, davantage qu’une démonstration appuyée via un travail académique. La première idée qui vient en tête est souvent la bonne, vite, à ses 🖌️, pour ne pas la laisser filer…


Belle série de tableaux
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💜💜
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Comme c’est beau!
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