»-. Dans l’ordre du vivant, mes 👁️🗨️ ne vont pas assez loin pour choisir, pour suivre les 🌟, une plus qu’une autre, je connais mes limites de comprendre ou de savoir. Mes 👁️🗨️ ne vont pas assez loin pour comprendre où elles vont quand elles suivent la 🌒. Il ne s’agit pas que tout disparaisse. Il s’agit de ne pas comprendre, et de se laisser éclairer par la 🌙, se laisser surprendre par ses reflets et accepter qu’elle se dérobe, qu’elle se cache. Le monde animal est réglé, est rangé, comme les saisons, l’aube, puis la marée et voilà que nous on dérègle tout, par indigestion de la liberté, par le trop de tout. Je ne sais pas pourquoi je te raconte cette histoire de 🌒, mais ce n’est pas important que je sache les mots savants. Je m’en fiche, qu’une 🌟 s’appelle comme ça, ou comme ça. Elles n’ont pas de nom. Mais je les repère.

C’est curieux, ce vivant, je préfère avoir observé ces 🌟 plutôt que de les avoir apprises. Je ne sais pas où la 🌙 va. Et je ne veux pas qu’on me dise où elle va, la 🌙. La 🌒 c’est tout, c’est l’infini qui disparaît et qui revient. La 🌙 ne bouge pas et la terre tourne, cette disparition entraîne que, à un moment ou à un autre, elle passe devant ma fenêtre. Comme l’homme passe sur la terre et s’en va. Où ? La 🌙 me raconte cette histoire de l’homme. Bien sûr que le ☀️ est important, mais la 🌒, vois-tu, elle décide. » Paul Bedel (Nos 🐮 sont jolies parce qu’elles mangent des 🌸🌹)
🎶💜🎵
J’aimeJ’aime
💙
J’aimeJ’aime
Quel bel ode à la lune, en texte et en image ! 🧡🌛
J’aimeJ’aime